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     Les synthèses réalisées par les élèves

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    Adeline TST2SA
    KellyTST2SA
    N. Vauthier (Admin)
    7 participants
    AuteurMessage
    N. Vauthier (Admin)
    Admin
    N. Vauthier (Admin)


    Nombre de messages : 397
    Date d'inscription : 19/09/2005

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    MessageSujet: Les synthèses réalisées par les élèves   Les synthèses réalisées par les élèves EmptyMer 1 Oct - 14:10

    cliquez sur répondre pour mettre vos synthèses (et non pas sur nouveau, merci)
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    https://cogito.forumactif.com
    KellyTST2SA




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    Date d'inscription : 02/10/2008

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    MessageSujet: Origines historiques et culturelles   Les synthèses réalisées par les élèves EmptyJeu 2 Oct - 1:59

    De Pauline B et Kelly T

    Origines historiques

    Les origines de l’excision remontent à l’âge pharaonique, apparut avant l’Islam. Le Coran ne mentionne aucune information sur cette pratique mais une transmission de faits et de paroles d’un prophète en fait une brève allusion. Les traces les plus anciennes de l’excision remontent au XVIe siècle avant notre ère. Elles proviennent de momies égyptiennes portant les marques de mutilations génitales. Des preuves convergentes témoignent également de l’existence de cette pratique en Judée et plus tard, dans certaines sociétés chrétiennes. On a pu trouver des cas de clitoridectomie (ablation du clitoris) dans des sociétés occidentales jusqu’au XIXe siècle, dans le but de traiter certains troubles psychologiques (la « masturbation compulsive » étant perçue comme un trouble).

    Origines culturelles

    Il existe deux origines culturelles à l’excision :
    - La première est biblique : elle concerne le peuple issu d’Abraham et de l’esclave que sa femme jalouse aurait fait exciser. C’est une pratique répandue en Afrique orientale.
    - La deuxième est mythologique : dans le mythe de Dogon et Bambara relatifs à la création des premiers humains, ceux-ci étaient tous jumeaux. De plus, dans le mythe Bambara, ils étaient le siège du mal c’est pourquoi il était conseillé d’ôter à l’enfant, lors de sa puberté, son attirance pour le sexe opposé.
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    Adeline TST2SA




    Nombre de messages : 1
    Date d'inscription : 02/10/2008

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    MessageSujet: Le travail des ONG auprès du peuple Peuls   Les synthèses réalisées par les élèves EmptyJeu 2 Oct - 2:01

    Le travail des ONG auprès du peuple Peuls
    ONG Potal men qui intervient au bénin


    Qui sont les Peuls ?

    Les Peuls constituent une ethnie présente dans une quinzaine de pays, en Afrique de l'Ouest, mais également au Tchad, en République centrafricaine et au Soudan.
    Leur dispersion et leur mobilité ont favorisés les échanges et les métissages avec d’autres populations.

    L’excision chez les Peuls

    L’excision chez les Peuls est une pratique coutumière. Elle se pratique sur les petites filles âgées de 6 à 8 ans. L’excision est une cérémonie qui marque l’âge de l’adolescence préparant ainsi la jeune fille à devenir femme.
    Objectif de l’ONG

    Contribuer à l’éradication des Mutilations Génitales Féminines (excision) en milieu peul et gando.

    Ses actions

    - Sensibilisation « porte à porte » : c’est le passage de l’animatrice d’une concession à l’autre en démontrant aux familles les méfaits de l’excision
    - Boite à images qui démontrent les effets néfastes de cette pratique.
    - Installation de comité de suivi
    - Séance de coanimation pour programmer des sorties avec les femmes pour qu’elles témoignent devant son public pour arrêter l’excision.
    - Organisation d’une assemblée générale qui réunit tous le peuple Peuls.

    Source utilisée :


    http://www.natitingou.org

    Cliquer sur Potal men dans ONGs et ensuite aller dans l’icône « nos activités ».
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    Fanny TST2SA




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    Date d'inscription : 02/10/2008

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    MessageSujet: Le mannequin Katoucha   Les synthèses réalisées par les élèves EmptyJeu 2 Oct - 2:01

    Carine et Fanny

    Katoucha

    Katoucha (La Princesse Pheule) est la fille de Djibril Tamsir Niane. Née en 1960 et décédée en été 2008.
    Elle était devenue l’un des premiers tops model noirs.
    Elle décide de :
    - créer sa propre ligne de vêtements en 1994
    - créer sa propre association : KPLCE (Katoucha pour la lutte contre l’excision, pour dire non à cette mutilation et soutenir les victimes).
    Elle s’est combattue contre l’excision car elle a été victime de cette pratique douloureuse et ancestrale.
    Pour cela :
    - elle produit et publie des ouvrages,
    - elle organise des évènements tels que des colloques et des conférences susceptibles de générer des dons et d’initier des partenariats.
    - elle dédie des manifestations diverses comme "Ebène top model" à cette cause
    Elle propose :
    - d’offrir une reconstruction affective aux victimes en réparant leurs mutilations. (avec la collaboration de chirurgiens spécialisés et apporter une aide médicale dans ce domaine).
    - un glissement d’un rite douloureux et inaliénable (l’excision) à un rite reconnaissant l’intégrité de chaque être, indolore et éphémère comme ce qu’ont fait les aborigènes d’Australie qui ont remplacé les scarifications par la peinture sur corps.

    Sources : www.kakoucha.niane.com
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    caroleTST2SA




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    Date d'inscription : 02/10/2008

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    MessageSujet: Où se pratique l’excision ?   Les synthèses réalisées par les élèves EmptyJeu 2 Oct - 11:28

    Où se pratique l’excision ?



    Sophie et Carole


    Elles datent de la fin du 19è siècle et le Soudan, où la pratique de l’excision est très répandue, dénonce l’excision depuis 1947. Les femmes africaines au Kenya, en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso, au Mali luttent depuis toujours contre l’excision quand celle-ci ne leur convient pas. Les Somaliennes, à contrario, dans leur majorité sont pour l’excision.

    La pratique de l’excision touche principalement le continent africain :

    Les mutilations génitales féminines existent au moins dans 25 pays d’Afrique :

    La clitoridectomie (ablation du clitoris) est pratiquée :

    -Bénin /-Burkina Faso
    -Cameroun /-République Centrafricaine
    -Côte d’Ivoire /-Gambie
    -nord du Ghana /-Guinée
    -Kenya /-Mali
    -Mauritanie /-Nigeria
    -Ouganda /-Sénégal
    -Sierra Leone /-Tanzanie
    -Togo /-Tchad.

    L’infibulation est pratiquée :
    -Djibouti
    -Egypte
    -régions d’Ethiopie /-Mali
    -Somalie /-nord du Soudan.

    Dans ces pays, toutes les ethnies ne pratiquent pas les mutilations génitales féminines.

    On estime à cent vingt millions de femmes et de fillettes le nombre de victimes de ces pratiques pour le seul continent africain, ce qui correspond à environ un tiers de la population féminine de l’Afrique.
    En dehors du continent africain, l’excision se pratique : au Bangladesh, en Inde, en Indonésie, en Malaisie, au Pakistan et au Yémen.

    En France :
    Des personnes appartenant aux sociétés pratiquant les mutilations génitales féminines vivent en France. Les familles en provenance du Sénégal, du Mali, de Côte d’Ivoire et de Mauritanie sont les plus nombreuses. Les trois quarts vivent en Ile-de-France, les autres sont domiciliés pour la plupart dans les départements de Seine-Maritime, de l’Eure, de l’Oise, du Nord du Rhône, des Bouches-du-Rhône. Il est estimé que plus de 60 000 femmes et fillettes françaises sont excisées chaque année. Vu la nature illégale de la pratique en France, les données sont approximatives, mais elles portent à croire que plus de la moitié des françaises excisées l’ont été lors d’un retour à leur pays d’origine.
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    aline-B-termSTSS-A




    Nombre de messages : 1
    Date d'inscription : 02/10/2008

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    MessageSujet: L’excision : la situation au Burkina Faso   Les synthèses réalisées par les élèves EmptyJeu 9 Oct - 8:10

    L’excision : la situation au Burkina Faso



    Depuis novembre 1996, l’excision est interdite au Burkina Faso, sa pratique est sanctionnée par le code pénal. Et, plus étonnant, la loi y est appliquée.

    Objectif : faire reculer la pratique.

    le premier problème est l’information : aller dire dans chaque village que tout a changé, que ce qui était permis hier est interdit aujourd’hui.

    Actions :
    A Béré, un petit village de la province du Bazéga, une association locale, Mwangaza Action, anime une journée d’ateliers à destination des chefs coutumiers. Commence alors une longue suite d’exposés, dans la salle de réunion du village. Les chefs sont plus ou moins attentifs. L’un d’eux s’endort. Deux jeunes rient dans leur coin. Evoquer la perte du plaisir se révèle en revanche inutile. « La plupart des femmes excisées l’ont été vierges, et elles ont du mal à réaliser ce qu’elles ont éventuellement perdu ».

    Des affiches contre l’excision, naïves, cruelles et crues sont à disposition. Ici, une jeune femme, entourée de masques africains, tient ses mains devant son sexe, conque noire d’où sourdent quelques gouttes rouges de sang. Le slogan s’étale : « Dites non à la pratique de l’excision ! ».

    Témoignage :
    Pour les exciseuses, qui se transmettent leur charge de mère en fille, le métier devient de plus en plus rentable en raison de la clandestinité.
    « J’ai arrêté le jour où une petite fille a failli mourir. » explique une femme de Markoye, dans la province d’Oudalan.

    Evolution :
    Une étude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) constatait-elle, en 2001, à la fois le maintien de la pratique dans quatorze provinces burkinaises sur quarante-cinq, et sa diminution le long de l’échelle des âges : 75,4 % des femmes de plus de 20 ans étaient excisées, taux qui est tombé à 43,6 % pour les filles entre 11 et 20 ans, et à 16,3 % pour celles entre 5 et 10 ans ;
    Selon un rapport du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) sur l’excision, trois millions de femmes africaines sont mutilées chaque année.

    Depuis novembre 1996, une loi condamne l’excision. Elle prévoit des peines d’emprisonnement de six mois à trois ans pour les exciseuses, et de cinq à dix ans en cas de mort de la victime, plus une amende de 150 000 à 900 000 francs CFA (de 229 à 1 372 euros).
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    Aurélie ST2S A




    Nombre de messages : 2
    Date d'inscription : 02/10/2008

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    MessageSujet: Les efforts entrepris en France et leurs limites   Les synthèses réalisées par les élèves EmptyLun 3 Nov - 8:00

    I- Les efforts entrepris en France


    Tout d'abord, Xavier Bertrand a annoncé le 4 décembre 2006 vouloir prendre des mesures pour améliorer la répression et la prévention dans le cadre du plan national : "Violence et Santé".

    Egalement, la loi relative aux violences ayant entraînées une mutilation ou une infirmité permanente a été modifié le 4 avril 2006. Ces modifications comportent :
    - une répression des mutilations sexuelles commises à l'étranger renforcée
    - la loi prévoit la possibilité de lever le secret professionnel
    - toute personne ayant une connaissance du risque d'excision que court une enfant à l'obligation de le signaler sous peine d'être sanctionné pour non-assistance à personne en danger
    - le signalement doit être effectué auprès du procureur de la République ou des services sociaux et médico-sociaux (services PMI et ASE).

    En outre, les services sociaux et médico-sociaux font de l'éducation à la santé en informant les mères sur les risques de l'excision et compte tenu des l'ignorance des mères concernant les blessures infligées à leurs enfants. D'ailleurs, aujourd'hui dans les centres où une opération systématiques a été menée auprès des mères, le pourcentage des fillettes excisées est devenu proche de zéro.

    Enfin, il faut mettre l'accent sur la relation de confiance qui doit se nouer entre les soignants et les parents ainsi que sur la capacité à entendre sans juger, les interrogations des parents déchirés entre les cultures.





    II- Leurs limites


    En France, la prévention sensibilise les parents, cependant, c'est souvent à l'occasion de vacances "au pays" que l'excison a lieu, parfois à l'insu des parents demeurés en France.

    De plus, les enseignanants ne sont pas toujours attentifs ou capable de déceler l'excision d'une petite fille, faute de temps ou d'attention.

    Enfin, ces auguments sont des limites à la prévention de l'excision.
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